Symbole de résilience, de paix, de solidarité et d’unité, le « cheval » qui a traversé Paris à l’occasion de la cérémonie d’ouverture des incarne les valeurs qui sont au cœur du partenariat entre PowerTech Systems, Atelier BLAM, MM Process, Transfluid et Paris 2024.
En plus d’un symbole fort, La chevauchée de Zeus aux JO Paris 2024 est aussi la résultante du savoir-faire et de l’esprit d’innovation scientifique et artistique d’un groupe d’entreprises Françaises.
Ce prototype est propulsé par un moteur de 130kW 384Volts alimenté par assemblées au sein de la coque.
En plus de celui-ci, la coque centrale contient la majeure partie des organes électriques dont le stockage d’énergie :
-16x batteries de propulsion PowerModule 48V (86kWh), certifiées Bureau Veritas ESTRIN
-1x batterie PowerBrick 48V-105Ah dédiée au mécanisme du cheval (5.37kWh)
-1x batterie PowerBrick 24V-50Ah pour le contrôle/commande et éclairage (1.2kWh).
La chevauchée de Zeus est un véritable défi technique et une scène gravée à jamais dans les yeux du monde entier. Et c’est sans doute l’une des créations les plus mémorables de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
Cette dameuse 100% electrique est un joli bébé de 9m de long et pesant plus de 11 tonnes qui arpente silencieusement les pentes alpines Françaises pour damer les pistes de ski.
Le moteur diesel de cette dameuse (de presque 13L de cylindrée) a été remplacé par des moteurs électriques, plus fiables, et avec un rendement bien supérieur au moteur thermique d’origine. Le résultat est là : une machine 100% électrique, consommant quatre fois moins d’énergie et pourvue d’une autonomie de 6 à 7 heures, soit l’équivalent d’une nuit de travail sur les pistes.
Romain Dupon, dirigeant de l’entreprise éponyme basée à Pontcharra (France) n’est pas peu fier de ses équipes qui ont mis au point la première dameuse 100% électrique au monde après plusieurs années de travail acharné.
Pour la partie batterie, PowerTech Systems a collaboré avec CM Dupon pour lui fournir la solution de stockage d’énergie nécessaire à la traction du véhicule.
La gamme de produit PowerModule a répondu à toutes les contraintes du projet : grande densité d’énergie, extrême modularité pour intégrer les packs dans l’espace exigu disponible sous la carrosserie, facilité d’installation, et monitoring temps réel de l’installation.
Pour ce projet, 77 PowerModules sont intégrés à bord de la dameuse « Alpine 510 » rétrofitée, constituant un pack batteries Lithium Fer Phosphate de 415 kWh en 600VDC.
Les premières dameuses seront opérationnelles dès cet hiver 2023 dans différentes stations alpines (Tignes, la Plagne, etc.), sous l’égide de la Compagnie des Alpes (CDA)
La société PowerTech Systems est heureuse d’annoncer qu’elle équipe le bateau 100% électrique « Ducasse sur Seine » de son système de batteries Lithium modulaire PowerRack.
Ce bateau 100% électrique (propulsion, équipement de bord, cuisines, etc.) est alimenté intégralement par nos batteries Lithium Ferro Phosphate représentant une énergie stockée de 720 kWh répartie en deux banques de PowerRack totalement indépendantes.
Le système de batteries PowerRack, certifié par le Bureau Veritas au début 2018, se compose de 24 armoires de 30kWh en 700V continu, connectées en parallèle. Ces batteries représentent un poids d’environ 9 tonnes à bord. Ce système en armoire permet de limiter la place au sol et d’empiler l’énergie sur toute la hauteur des cales, ce qui rend l’installation compacte et intégrée au bateau.
L’inauguration officielle du Ducasse sur Seine a eu lieu le 25 Septembre 2018 en présence de Madame Anne Hidalgo, maire de Paris, et d’autres personnalités.
Nous sommes heureux d’annoncer notre partenariat avec la Start Up Francaise Shark Robotics, spécialisée dans la fabrication de robots multi-rôles et dont la vocation est d’éloigner l’homme du risque.
Dans ce cadre, PowerTech développe et fournit les batteries PowerModule et PowerBrick , embarquées sur ces robots autonomes, très robustes et conçus pour remplacer l’homme dans les situations délicates.
C’est ainsi que le robot Colossus, joli bébé de 500Kg, a contribué à sauver Notre-Dame de Paris des flammes en 2019 en manœuvrant la lance à incendie au plus près du feu, là où les pompiers ne pouvaient accéder sans risque pour leurs vies.
Avec la pandémie COVID-19, Shark Robotics a concu un nouveau robot nommé « RHYNO PROTECT » dont la mission est de pulvériser des solutions désinfectantes sur 20 000 m² en moins de 3 heures, soit 2m² par seconde, sans exposer l’humain au risque de contamination.
Modulaire, ce robot peut aussi épurer l’air de milieux confinés, comme les hôpitaux, une option épuration de l’air permet d’éliminer jusqu’à 99,99% des micro-organismes pathogènes en suspension, grâce à une lampe UV-C.
PowerTech Systems souhaite mettre à l’honneur l’ensemble du personnel soignant pour leur mobilisation admirable dans cette crise, et est heureuse de participer indirectement à l’effort de guerre pour combattre ce fléau qu’est le COVID-19.
Tesla passe à la technologie Lithium Fer Phosphate
Lors de la récente présentation des résultats du 2e trimestre de Tesla, Elon Musk a confirmé que les batteries au lithium-fer-phosphate (aussi appelées LFP) joueront un rôle clé dans l’alimentation électrique des véhicules produits par l’entreprise, à commencer par la Tesla Model 3 :
L’efficacité totale des véhicules est devenue suffisamment bonne – avec le modèle 3 par exemple – pour que nous soyons réellement à l’aise d’avoir une batterie au phosphate de fer dans le modèle 3 en Chine. Elle sera produite en série dans le courant de l’année. Nous pensons donc qu’obtenir une autonomie de l’ordre de 200 à 300 miles (ndlr : presque 500km) avec une batterie au phosphate de fer en tenant compte de toute une série de facteurs liés au groupe motopropulseur et à d’autres aspects de l’efficacité des véhicules.
Et cela libère beaucoup de capacité pour des projets comme le Tesla Semi et d’autres projets qui nécessitent une densité énergétique plus élevée [batteries]. Vous disposez donc de deux chaînes d’approvisionnement que vous pouvez exploiter : le phosphate de fer ou le nickel [chimies à base de nickel]
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L’avantage fondamental du LFP est que, par rapport aux cathodes à base de nickel traditionnellement utilisées, ses principaux minéraux constitutifs – fer, phosphates et, plus récemment, traces de manganèse – sont très abondants et relativement peu coûteux. Le minerai de fer, par exemple, est extrait à un volume de près de 3 milliards de tonnes chaque année, soit mille fois plus que les quelque 2,5 millions de tonnes de nickel qui sont extraites chaque année.
Ensuite, il y a les problèmes bien connus entourant le cobalt, avec des chaînes d’approvisionnement éthiquement complexes, des quantités limitées extraites (dont la plupart sont déjà réclamées pour la fabrication de batteries), des prix élevés, et la sécurité des batteries au Nickel.
Tesla utilise au moins deux variétés de batteries nickel-cobalt, de Panasonic (NCA) et LG Chem (NCM), et a essayé de minimiser la quantité de cobalt nécessaire, mais il y a toujours une certaine exposition au cobalt, et l’exposition au nickel est évidemment inévitable, c’est l’ingrédient clé dans cette catégorie de chimie des batteries.
Dans l’ensemble, les minéraux clés pour les batteries LFP sont donc beaucoup plus abondants, et les prix sont plus faibles (et plus stables) que ceux des minéraux pour batteries à base de nickel. Cela se traduit par le fait que les batteries LFP sont déjà légèrement moins chères que les batteries à base de nickel par kWh. Les minéraux constitutifs étant si peu coûteux et la densité énergétique des cellules LFP s’améliorant constamment, ce prix par kWh pourrait encore baisser dans les années à venir.
Tesla passe à la technologie Lithium Fer Phosphate